mercredi 28 novembre 2007

La parité de gré ou de force

Vous n’avez pas pu y échapper si vous avez ouvert votre poste de télévision récemment car toutes les chaînes en parlent. Non, non il ne s’agit pas des exactions de certains "barbares de la république" qui brûlent des écoles et des bibliothèques pour venger la mort violente de deux "jeunes" des "quartiers" qui circulaient de nuit, sans casques, sans lumières, sans permis, sans assurance sur un engin inadapté et interdit à la circulation sur route ouverte. Non, il ne s'agit pas de cet événement accidentel mais de cette nouvelle avancée de l'empire du bien: l'égalité salariale entre hommes et femmes.

Pour ceux et celles qui auraient échappé aux trompettes de la pensée unique et du politiquement correct, je rappelle que nos tendres compagnes, amies, mères, sœurs, cousines, etc. sont victimes de nombreuses discriminations et notamment en matière de rémunération. Ceux et celles qui veulent s'en assurer pourront se plonger dans le dossier de presse de la "Conférence Sociale Tripartite: égalité professionnelle et salariale hommes-femmes", bon courage!

Toutes choses étant égales par ailleurs, les femmes seraient donc moins payées que les hommes, admettons. Au nom de la mère, de la fille et de la sacro sainte parité, on ne pouvait rester insensible devant tant d'iniquité. Il était donc urgent et nécessaire que Xavier BERTRAND, ministre du travail des relations sociales et de la solidarité vienne nous indiquer comment cesser ces pratiques discriminatoires comme il nous convainquit naguère d'abandonner la consommation de tabac: par la contrainte et la menace.

Enquête sur le terrain


Après le plaisir d'en griller une, il va falloir abandonner le plaisir d'en discriminer une. Fini le complot machiste des mâles dirigeants de l'entreprise mettant au point d'insidieuses stratégies pour mieux maintenir les employées aux rangs subalternes. Finies les offres d'emploi à double budget car pour un même poste et comme chacun le sait, le patron préfère logiquement (sic) surpayer un homme que sous-payer une femme.

Comme le dit Xavier BERTRAND: "on ne peut plus passer pour des naïfs". Ministre d'un gouvernement nommé par un président qui se prétend libéral, il lui faut éviter comme la peste de passer pour un ultra-libéral ce qui, dans l'échelle des valeurs de la soviétie française, le transformerait en chaînon manquant entre George BUSH et Adolf HITLER. Alors à bas la méritocratie!

L'état va une fois encore venir fourrer son nez dans la gestion des entreprises privées pour établir une égalité salariale qu'il n'est même pas capable d'obtenir dans les entreprises publiques dont il a la responsabilité. Bien sûr, on pourra se rassurer en imaginant que les sanctions ne seront appliquées que "si l'ancienneté est la même, si le poste est le même, si la qualification est la même", mais si vous avez le tort d'être un homme professionnellement performant, vous comprendrez certainement que votre collègue du bureau d'en face sera servie en priorité lors d'éventuelles augmentations de salaires, même si elle ne l'a pas mérité.

Faites ce que je dis, pas ce que je fais


La conséquence de tout cela? Elle est facile à prévoir: Comme la fameuse contribution DELALANDE avait surtout contribué à écarter les seniors du monde du travail, cette nouvelle usine à gaz va inciter les entreprises à ne pas embaucher de femmes pour éviter des conflits prud'homaux. Toute la clique des gauchistes et des féministes criera alors encore plus à la discrimination et le gouvernement imposera aux rares entreprises ayant conservé une activité en France, des quotas de femmes, d'immigrés, de jeunes en difficulté, de seniors; d'handicapés, d'homosexuels, de musulmans, de cycliste, etc., etc…

mardi 20 novembre 2007

Hasta cuando?

Jusqu'à quand allons nous supporter les gauchistes?
Les Venezueliens ont commençé à se le demander, les Cubains se posent la question depuis plus de 48 ans.


Profitez-en pour prendre un petit cours d'Espagnol (de Cubain...) en musique.

Pa'que aprenda!

lundi 19 novembre 2007

Mais que fait donc la police?


Avis aux lecteurs: Cet article n'a rien à voir avec la misandrie.

Je me suis rendu hier dimanche à Paris pour manifester contre les mafieux syndicaux. Sachant que le défilé devait se terminer à Nation, j'ai stationné mon véhicule à proximité de cette place (non, je n'y suis pas allé en RER) avant de rejoindre le point de départ, place de la République.


Fin de la manif à Nation

Peu habitué à ce genre d'exercice, je n'avais pas trouvé judicieux d'emporter un appareil photo avec moi mais j'ai regretté cette décision car en partant de Nation où les forces de polices balisaient déjà le parcours j'ai tout à coup vu ça:


Oui, oui, il n'y a pas de doute, c'est cassé. J'ai donc utilisé mon portable pour immortaliser la scène.



Enfin, voir des fonctionnaires travailler le dimanche, ça fait tout de même plaisir...

NB: Après avoir perdu du temps à prendre ces photos, il a fallu rejoindre le point de départ du cortège, place de la République... en vélib'!
(devinez pourquoi je n'y suis pas allé en métro).

lundi 10 septembre 2007

Un peu fort de café

Après Eram qui se vautre dans la misandrie la plus éhontée, voici Senseo qui n'est pas mal non plus:




Bien sûr, certains objecteront qu'il n'y a rien de misandre dans cette publicité et pourtant, rappelez-vous de cette pub. Une fois encore, un homme seul ne peut vivre que dans la crasse et une cuisine crasseuse ne peut être que le fait d'un homme seul.
Comme chez Eram, une fois le filon trouvé on l'exploite. Puisque la misandrie fait rire, puisque personne ne proteste, puisque qu'il n'est pas politiquement incorrect de se gausser des mâles, alors mettons le paquet:




Donc résumons, les hommes sont des gorets incapables de vivre décemment sans l'assistance d'une femme. Les femmes, par contre, s'en sortent tellement bien sans hommes que leur vœu le plus cher est de se débarrasser de leur compagnon.
Et si vous n'êtes pas convaincus du parti pris misandre de la communication de Senseo, reprenez-en deux petits derniers, pour la route:




mercredi 5 septembre 2007

Quelle place pour l'homme?

Il ne s’agit pas ici d’aller baptiser un rond-point "place de l'homme" ou d'aller renommer une artère "avenue des victimes de la misandrie", encore que j'ai connu une "avenue des victimes du nazisme" à deux pas de chez moi. (Bizarrement, je n'ai jamais entendu parler d'une "avenue des victimes du communisme" pourtant beaucoup plus nombreuses).
Non, je m'interroge sur la place physique à laquelle est censé se tenir l'homme au foyer.




Visiblement, ce n'est pas à la cuisine dans laquelle il n'a rien à branler. Mais alors où? Il peut aider à d'autres tâches familiales comme par exemple la lessive:




Non, rien à foutre là non plus, alors le jardinage…



Toujours pas ça. Bon, finalement le mieux, c'est encore qu'il reste à rien branler sur le canapé!



Décidemment, irrécupérable. Un de mes amis, grand admirateur du Québec en général et des québécoises en particulier, m'a peut être donné la solution. La bonne place, pour l'homme, c'est…


vendredi 27 juillet 2007

I'll be back!

D'accord, c'est les vacances mais... je reviendrai!


Devine qui vient dîner ce soir!

Nous sommes nés en 1959, mon copain d'enfance, moi-même et la Mobylette AV88 dite Mobylette Bleue. Gérard (appelons-le ainsi) et moi sommes amis depuis la rentrée de troisième, depuis que fièrement juchés sur nos rutilants engins, nous avons découvert en même temps cette incroyable liberté de mouvement qui nous permettait après les cours d'aller où bon nous semblait au gré de nos envies. Nous sommes nés à Suresnes (lui et moi, pas la mobylette…) et nous habitions à La Défense.

Bôôôôô....

Trente quatre ans plus tard, Gérard a possédé tout un tas de voitures sportives et créé sa propre entreprise mais contrairement à moi, il ne roule plus en deux-roues, il n'a même jamais passé son permis moto. Il y a belle lurette que nos parents on quitté La Défense et nous avec.
Gérard est fils unique. En décembre dernier, son père est décédé. Depuis lors, sa mère vit seule dans son appartement situé à… GRIGNY 2.

Grigny 2 , son lac, sa gare, sa résidence de prestige

Connaissez-vous GRIGNY?
Voilà ce qu'en dit WIKIPEDIA:

"D'un village de 2500 habitants, GRIGNY devient en moins de 10 ans une ville de plus de 25000 habitants. Vu l'énorme investissement nécessaire à la création de nouvelles infrastructures communales et sans aide significative de l'État, GRIGNY connaît depuis un déficit structurel de son budget, parvenant difficilement à répondre aux missions de service public. En effet, elle est la ville la plus jeune, mais aussi la plus pauvre de l'Essonne."

Je ne sais pas qui a rédigé l'article sur L'Encyclopédie Libre, mais c'est déjà clair: Grigny c'est pas top et c'est la faute de l'état.

Et voilà ce qu'en dit le site de la ville de GRIGNY

"La construction de Grigny 2 par arrêté ministériel
Le 10 décembre 1968 le Ministre de l’équipement, Albin Chalandon, a délivré un accord préalable aux promoteurs, de Balkany et la Banque de Suez, pour la réalisation d’un programme de 5835 logements à Grigny 2.
Six mois plus tard il a créé par arrêté la ZAC des Tuileries, la première de France.
La construction de la plus grande co-propriété de France a ainsi pu commencer sans tenir compte des objections de la municipalité.
Pour vendre l’opération, le promoteur a fait construire un hall de vente équipé d’une piscine, prônant ainsi un «nouvel art de vivre».
Une réalisation de standing
La conception était radicalement différente de celle de la Grande Borne. Il s’agissait de réaliser une opération de standing pour une population de cadres.
C’était «un nouvel art de vivre», «la ville à la campagne» qui était vendue sur plan. A 25 km de Paris, le projet avait de quoi séduire. Mais la réalité a été quelque peu différente.
La construction de la gare, financée par le promoteur, a été, en même temps qu’un atout pour le quartier, un excellent argument de vente.
De graves irrégularités
Mais la construction de Grigny/2 a été marquée par de graves irrégularités.
Les promoteurs n’ont jamais fourni :
• ni le plan d’aménagement de zone
• ni l’échéancier et les modalités de financement des équipements publics
• ni le bilan financier prévisionnel"


Alors là c'est plus clair, en plus de l'état (de droite) qui n'a pas tenu compte des objections de la commune (le maire est communiste), on retrouve des salauds de promoteurs (traduisez: des capitalistes) qui ont poussé la vilenie jusqu'à construire une gare (à leurs frais, ce qui prouve bien qu'ils sont trrrrèèèès riches) pour attirer une clientèle de cadres (c'est-à-dire de moins riches mais de riches quand même, selon les critères de François Hollande). Tout ça pour dire que GRIGNY est bien cette commune où vivent des "jeunes" qui "ne trouvent pas d'emplois" et où des "rivalités" avec ceux de La Grande Borne font des morts de temps à autre.

Les parents de Gérard ont acheté un appartement à GRIGNY 2 à la fin des années 70. J'étais à peine majeur à l'époque mais ça me paraissait déjà bizarre de quitter le béton de La Défense pour aller vivre dans le béton de GRIGNY 2, mais bon, c'était leur choix. J'allais fréquemment chez Gérard et GRIGNY 2 n'était pas pire que La Défense.

Il y a de ça un mois, Gérard m'appelle en catastrophe depuis une île paradisiaque où il était parti en amoureux avec sa compagne, histoire de déstresser en oubliant un peu leur entreprise dans laquelle il s'enrichissent sans rien foutre, comme tous les salauds de patrons. Motif de son appel: sa mère, dont les problèmes psychologiques ne se sont pas amélioré avec le deuil, vient de faire une nouvelle TS et elle est au service des urgences de l'hôpital du coin. Il faut que j'aille faire différentes choses parmi lesquelles, récupérer le chat resté seul dans l'appartement de Grigny 2.

Il faut dire que je n'était pas retourné à Grigny depuis 1981, année à partir de laquelle j'ai commencé à pas mal voyager à l'étranger. Quand je suis revenu en France, Gérard ne vivait plus chez ses parents et je n'avais plus de raison d'y retourner.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça a changé. La population de cadres visée par les méchants promoteurs capitalisto-batisseurs de gare s'est transformée en population africaine. (Pour être politiquement correct, je dois reconnaître que tous ces gens peuvent être des français d'origine africaine ayant un poste d'encadrement, après tout, je n'en sais rien). La cité est beaucoup plus sale et dégradée qu'il y à vingt-six ans, mais sans atteindre des sommets (ou plutôt des planchers) comme aux Bosquets de Montfermeil, par exemple.

Les Bosquets à Montfermeil: à visiter rapidement (c.a.d: sans s'arrêter!)

Bref, j'ai ramassé le chat et quelques affaires mais avant de repartir, j'ai renseigné un charmant voisin de la mère de Gérard venu s'enquérir de la santé de sa voisine. Et oui, quand on quitte son domicile dans l'ambulance des pompiers, ça se remarque.

Samedi dernier, Gérard est venu voir sa mère à l'hôpital psychiatrique accompagné de son fils aîné. Ils en ont profité pour aller vider la boite à lettre et passer à l'appartement où les attendait une grande surprise: L'appartement était occupé, squatté par des Maliens.

Ce n'était pas des cambrioleurs, même s'il sont rentré par effraction, la preuve: ils avaient ramené du mobilier au lieu de voler celui qui y était déjà. C'est ainsi que le nombre de lits dans l'appartement était passé de trois à dix-huit! Plus étonnant, le nombre de téléviseurs avait augmenté. La cuisine était même garnie de victuailles simples mais consistantes, il y avait notamment un sac d'une vingtaine de kilos de riz à peine entamé et moult poulets dans le réfrigérateur. La surprise de Gérard est allé crescendo lorsque ces gens lui ont expliqué qu'ils occupaient légalement l'appartement comme semblait en attester un vague papier tenant lieu de bail, signé d'un nom à consonance africaine et dont la famille de Gérard, pourtant propriétaire du bien, n'a jamais entendu parler.
Mon ami, soucieux du bien être de ses nouveaux hôtes, a jugé utile de faire venir la maréchaussée afin que ces gens peu habitués à l'immense rouerie des propriétaires immobilier d'Ile De France soient confortés dans leurs droits… au logement?
Sans doute impressionnée par l'arrivée des forces de l'ordre, une africaine a été prise de convulsions l'empêchant de se tenir debout. Puisqu'on en était à foutre l'argent public par les fenêtres, autant faire intervenir les pompiers en plus de la police. Je ne suis pas du tout en train de critiquer le service public en disant ça, d'ailleurs les pompiers ont été d'une efficacité bluffante: leur simple arrivée sur les lieux a suffit a guérir la malade qui s'est remise sur pieds instantanément.


Comme la journée était belle et l'ambiance conviviale, tout le monde a décidé de se rendre au commissariat (sauf les pompiers). Là, la mère de Gérard a porté plainte contre X pour cambriolage et pour ne pas rester sans rien faire, les Maliens ont porté plainte contre le méchant propriétaire de l'appartement qui selon eux, doit leurs rembourser des loyers qu'ils auraient payé.
Gérard est ensuite retourné à l'appartement, a payé 1200 €uros pour une réparation provisoire des dégâts occasionnés par l'effraction, et comme tout cela se passe entre gens civilisés et honnêtes, il a remis sur le palier tous les menus effets apportés dans l'appartement par ses ex-occupants. Seule petite fausse note dans ce tableau idyllique: le sac de riz dans lequel le fils de Gérard a trouvé comique d'uriner. Ce que les jeunes peuvent être taquins…

Finalement une bonne journée propice à la prise de conscience par un privilégié blanc des difficultés de logement de la minorité noire qui n'a pas eu d'autre choix que celui de fuir la misère au péril de sa vie et à laquelle la république n'est même pas capable d'offrir un toit.

Bien sûr, les quelques objets appartenant à la mère de Gérard et ayant un peu de valeur ont disparu, bien sûr le répertoire téléphonique rempli de numéros internationaux retrouvé près du téléphone laisse augurer d'une facture téléphonique particulièrement salée à venir mais finalement, Gérard peut s'estimer heureux. En effet, les intrus ont bien voulu déguerpir mais la police a bien prévenu mon ami, si les squatters reviennent (ce qui est très probable) et occupent l'appartement depuis plus de 48 heures, les forces de l'ordre ne peuvent plus les obliger à quitter les lieux!!!

Entre le droit au logement et le droit de la propriété, il va falloir choisir.

mercredi 11 juillet 2007

Pigeonné!

Il ne faut pas que ces dames s’inquiètent, le mari tiendra le rôle du pigeon lors du divorce qui ne saurait tarder… Par contre, pour la prestation compensatoire, ça risque d’être plus difficile !

Tu veux ou tu veux pas?

Bien sur, aucune misandrie dans le fait qu'une femme fasse une proposition ayant un objet sexuel à un homme. Mais, à ma connaissance, il n'existe pas de publicité mettant en scène un homme faisant ce genre de proposition à une femme, surtout sous forme d'ultimatum. A votre avis, pourquoi?

Pince-mi et pince-moi

Un couple, appelons les Philippe et Catarinetta, est au lit. L'un des deux fume en bouquinant et l'autre exhale la fumée sans s'en rendre compte. Sachant que Catarinetta est la victime, qui est le salaud?


dimanche 8 juillet 2007

Mistergooddeal



Alors cette pub, misandre ou pas misandre?
Imaginez l'inverse, une gourde tape sur son clavier "les yeux fermés" et son mec, vachement smart et un brin désabusé sur le sofa nous assène: "elle est lourde, n'est-ce pas?"

AU SECOURS...




Vous connaissez le site des "chiennes de garde"? Non? Et bien tant pis (ou tant mieux) pour vous. Sous la rubrique "SOS", on peut lire ce petit texte fort justement intitulé "AU SECOURS…"


"Les pouvoirs publics ont pour habitude de se décharger de leurs responsabilités sur les Associations, leur civisme et leurs bénévoles."


Ah bon? J'ai plutôt l'impression que les "pouvoirs publics" n'hésitent jamais à créer un nouveau machin, à nos frais, qui va s'occuper de tout, régenter notre vie privée et nous dire ce que nous devons faire et ne pas faire et même penser ou ne pas penser au nom du fameux "politiquement correct".

"Une volonté politique réelle d’en finir avec la violence masculine et le sexisme institutionnel exigerait des moyens, de la formation, de l’argent, beaucoup d’argent."


Ah pardon, je comprends mieux: c'est juste une histoire de pognon (beaucoup de pognon).

"Notre système ne voit aucun inconvénient à faire payer les femmes (impôts, taxes, charges, travail ménager gratuit). Mais il reste parfaitement réfractaire au financement des mesures qui permettraient de remédier efficacement aux inégalités entre sexes."


Là par contre, je ne comprends plus du tout. Notre système fait effectivement payer des impôts, taxes, charges (sociales?) aux femmes et aux hommes indifféremment et les féministes devraient s'en réjouir puisque c'est l'application du principe d'égalité des sexes devant (entre autres) la fiscalité. Quant à la fumeuse notion de "travail ménager gratuit", j'invite mes éventuels lecteurs (trices) à m'expliquer où commence et où s'arrête ce travail et surtout, qui aurait la charge de le payer s'il fallait le rémunérer.

"Notre premier devoir de citoyennes est d’exiger que les lois que l’on vote deviennent des pratiques sociales que l’on finance. Sans engagements budgétaires, les politiques -quand elles existent - ne sont que du vent- et les déclarations -que l’on claironne- du pipeau..."


C'est une façon de voir les choses. En ce qui me concerne, je me réjouis plutôt quand j'apprends qu'une nouvelle loi n'entraînera aucune nouvelle dépense mais apparemment, il faut que ça fasse mal au porte monnaie pour que l'on sente bien que… quoi en fait? Est-ce à dire que seule une loi qui nous coûte cher serait une loi que l'on désire vraiment, tout comme une femme. ;-)

"Les moyens dont les femmes disposent sont dérisoires. Les Associations sont souvent le seul recours de femmes en difficulté ou en danger. La simple liste des problèmes traités (insultes, agressions, agressions sexuelles, violences dans les relations amoureuses, violence conjugale, viols, viols par inceste, harcèlement sexuel, proxénétisme, prostitution, pornographie...) illustre, s’il en était besoin, que la violence qui pèse aujourd’hui sur les citoyennes de ce pays n’a rien de théorique."


Une simple liste? Mais alors si je vous dit que trois suicidés sur quatre sont des hommes, que 97% des prestations compensatoires sont payées par des hommes, que les hommes sont systématiquement mis à la porte de leur domicile lorsque l'ordonnance de non conciliation doit trancher entre les deux, que le mal est fait lorsque la "justice" met des années à s'apercevoir que les accusations d'incestes visant le père était calomnieuses, etc. ai-je démontré quoi que ce soit? Ai-je illustré, "s’il en était besoin, que la violence qui pèse aujourd’hui sur les" citoyens "de ce pays n’a rien de théorique"?


vendredi 6 juillet 2007

Fée du logis



Bon attention là les gars, il s'agit de bien comprendre la situation: c'est pas des gonzesses qu'on se moque mais de vous, les durs, les tatoués, les poilus. Z'avez déjà vu une nana qui pète et qui rote? Alors à mon commandement, vous filer dans la cambuse au pas gymnastique et vous nettoyez l'merdier, exécution!

Euh… chef, elles en font quoi, les dames, de leurs flatulences?

jeudi 5 juillet 2007

Harcèlement



Alors si maintenant on ne peut même plus rigoler à la photocopieuse...

mercredi 4 juillet 2007

La femme de ménage et le jardinier

Madame fait la lessive: on la prend pour la femme de ménage!
Monsieur passe la tondeuse: le prend-on pour le jardinier?

lundi 2 juillet 2007

Premier né

Après de nombreux atermoiements, il faut bien que j'écrive mon premier article. Je pense être capable de rédiger un texte en utilisant un vocabulaire suffisamment fourni pour que la forme soit présentable, mais le fond? Vous avez sans doute remarqué que les gens qui parlent quand ils n'ont rien à dire ont vite fait de raconter des âneries et je ne voudrais pas tomber dans ce travers.
Alors je vais commencer petit, je vais faire des choses simples, je vais m'inspirer de très grands maîtres qui utilisent cependant de très petites recettes, comme dans ce blog qui a au moins deux immenses avantages:

1°/ Comme il ne comporte qu'un seul article, il est très vite lu.
2°/ Comme le texte a été intégralement pompé sur Wikipedia, il a été très facile à rédiger.

Allez, c'est parti, je fais pareil, voici mon premier article intégralement pompé sur Wikipedia et qui a, néanmoins, un rapport certain avec la misandrie ambiante:

"Miss Maggie : à l'origine, la chanson se voulait contre la catastrophe du Heysel, provoquée par les hooligans de Liverpool puis elle est devenue un hymne pour les femmes et une charge particulièrement agressive contre Margaret Thatcher
"

Oui je sais, ce n'est plus vraiment d'actualité mais aujourd'hui encore, je me demande si cette chanson est plus ridicule que révoltante ou l'inverse.

"Voilà quelques années déjà que Renaud s'enfonçait dans la dépression. Nostalgie du temps qui passe, perte de ses idéaux, une longue période de silence commence en 1995 et ne se terminera qu'en 2002, avec d'innombrables rechutes. Renaud a toujours été un nostalgique de son enfance et fataliste quant à l'avenir (J'ai la vie qui me pique les yeux, Mistral Gagnant), et la perte de plusieurs amis proches comme Coluche l'affectèrent beaucoup. Au fil des années, et malgré un soutien constant de sa femme (qui, selon la famille Séchan, « portait Renaud à bout de bras »), Renaud céda à sa mélancolie. Pris dans l'alcoolisme, la solitude et le cynisme, Renaud y perd son grand amour, Dominique, qui le quitte en 1999 et l'inspiration. Il emménage alors avec son frère Thierry au dessus de la brasserie La Closerie des Lilas, qui devient son quartier général."

Peut on porter une personne addictive à bout de bras?

"Devenu l'ombre de lui-même, ses quelques apparitions le montrent bouffi par l'alcool, les yeux cernés. En 2001, il reçoit une « Victoire de la musique pour l'ensemble de son œuvre », ce qui, dans un sens, peut revenir à le considérer à la retraite. Conscients de l'urgence, ses musiciens Alain Lanty et Jean-Pierre Bucolo, l'embarquent dans une tournée thérapeutique « Une guitare, un piano et Renaud », marathon de 200 dates, qui lui fera réaliser l'amour que lui porte encore son public, indéfectible malgré les performances vocales catastrophiques du chanteur. Un an plus tard sortait son onzième album.
En mai 2002, un nouvel album apparaît donc dans les bacs plus de dix ans après le dernier enregistrement de matériel original du chanteur énervant : « Boucan d'enfer » se vend à plus de deux millions d'exemplaires, fruit d'un matraquage médiatique inédit depuis « Mistral Gagnant ». Mis en musique par ses amis Lanty et Bucolo, l'album est à l'image des dernières années passées : noir et sans concession. Docteur Renaud, Mister Renard, Cœur perdu, Mal barrés reflètent le purgatoire passé, alors que Elle a vu le loup renoue avec la tradition des chansons intimistes pour sa fille. La chanson Manhattan-Kaboul en duo avec Axelle Red connaît un important succès. Après tant d'années, Renaud semble enfin reprendre le dessus sur Renard, son côté sombre rongé par l'alcool. Pendant la « Tournée d'enfer » qui s'ensuit, il connaît quelques rechutes, et la voix n'est pas toujours au rendez vous, mais il remporte malgré tout un vif succès. Au côté de Johnny Hallyday, Renaud joue dans le film Wanted de Brad Mirman. L'année est couronnée par 3 Victoires de la Musique."

Qui a vu Wanted?

"En 2002, il rencontre la jeune chanteuse Romane Serda à la Closerie des Lilas qui devient rapidement la nouvelle femme de sa vie."

Romane Serda a 19 ans de moins que Renaud, c'est beau l'amour!

"Ayant retrouvé l'amour, il parvient enfin à sortir de l'alcoolisme et à sentir renaître son âme de militant. Depuis 2005, il lutte activement pour la libération d'Ingrid Bétancourt et organise le 23 février 2006, à l'occasion des quatre ans de détention de l'otage, un grand concert au Zenith de Rouen réunissant de nombreuses personnalités. Cette même année, il engage un combat contre la corrida et pour la réintroduction des ours dans les Pyrénées."

Il aurait peut être mieux valu qu'il reste pochtron...