lundi 10 septembre 2007

Un peu fort de café

Après Eram qui se vautre dans la misandrie la plus éhontée, voici Senseo qui n'est pas mal non plus:




Bien sûr, certains objecteront qu'il n'y a rien de misandre dans cette publicité et pourtant, rappelez-vous de cette pub. Une fois encore, un homme seul ne peut vivre que dans la crasse et une cuisine crasseuse ne peut être que le fait d'un homme seul.
Comme chez Eram, une fois le filon trouvé on l'exploite. Puisque la misandrie fait rire, puisque personne ne proteste, puisque qu'il n'est pas politiquement incorrect de se gausser des mâles, alors mettons le paquet:




Donc résumons, les hommes sont des gorets incapables de vivre décemment sans l'assistance d'une femme. Les femmes, par contre, s'en sortent tellement bien sans hommes que leur vœu le plus cher est de se débarrasser de leur compagnon.
Et si vous n'êtes pas convaincus du parti pris misandre de la communication de Senseo, reprenez-en deux petits derniers, pour la route:




mercredi 5 septembre 2007

Quelle place pour l'homme?

Il ne s’agit pas ici d’aller baptiser un rond-point "place de l'homme" ou d'aller renommer une artère "avenue des victimes de la misandrie", encore que j'ai connu une "avenue des victimes du nazisme" à deux pas de chez moi. (Bizarrement, je n'ai jamais entendu parler d'une "avenue des victimes du communisme" pourtant beaucoup plus nombreuses).
Non, je m'interroge sur la place physique à laquelle est censé se tenir l'homme au foyer.




Visiblement, ce n'est pas à la cuisine dans laquelle il n'a rien à branler. Mais alors où? Il peut aider à d'autres tâches familiales comme par exemple la lessive:




Non, rien à foutre là non plus, alors le jardinage…



Toujours pas ça. Bon, finalement le mieux, c'est encore qu'il reste à rien branler sur le canapé!



Décidemment, irrécupérable. Un de mes amis, grand admirateur du Québec en général et des québécoises en particulier, m'a peut être donné la solution. La bonne place, pour l'homme, c'est…